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Lee Spationaute Patrick baudry visite DEMBIERMONT, constructeur pour ARIANE

(Reportage n°1803 : La Sambre La Frontière – 30 Décembre 2011)

Patrick Baudry devant les fours de Dambiermont, première étape de fabrication des imposantes couronnes laminées des lanceurs latéraux de la fusée Ariane.

Patrick Baudry évoque : UN HOMME EN ORBITE

posted by on juillet 07th, 2020

LE 12 avril 1961, un jeune Soviétique de 27 ans devenait le premier homme dans l’espace, sur fond de rêve et de conquête spatiale. Cinquante ans plus tard, les vols habités n’intéressent plus grand monde.

À ce propos, le spationaute Patrick Baudry en veut beaucoup aux dirigeants européens, qu’il accuse d’avoir tourné le dos à « l’esprit de conquête qui a fait Gagarine et les premiers alunissages ». Le Français, qui a passé sept jours «entre ciel et terre » en 1985, est convaincu que l’homme, «cet animal curieux» posera un jour le pied sur Mars «pour faire avancer la science et faire rêver ». Hélas, regrette l’ambassadeur de bonne volonté de l’Unesco, «on se contente aujourd’hui de dépenser des sommes folles en tournant autour de la Terre sur quasiment la même orbite que Gagarine ». Un demi-siècle après le prerrùer homme en apesanteur, le rêve spatial a été rattrapé par la gravité. « Pour la plupart des gens, cet épisode, c’est de la préhistoire. Les moins de 50 ans ne peuvent plus dire: « Nous sommes allés dans l’espace »», explique Jacques Arnould. Et pourtant. « Le vol de Gagarine avait ouvert deux types de perspectives, analyse le philosophe du GNES. La plus évidente est celle du franchissement d’une nouvelle frontière. L’autre, moins prévisible, est celle d’un nouveau regard sur la Terre », résumée dans cette phrase de Gagarine en voyant ce qu’aucun autre humain n’avait vu avant lui :  »Je vois la Terre … c’estmagnifique! » La planète bleue a gagné en intérêt, depuis que l’on a réalisé sa fragilité. ll suffisait de prendre un peu de recul… «Mais aujourd’hui, cet intérêt nous est en quelque sorte imposé (par les circonstances environnementales et énergétiques), ce qui fait moins rêver « , relève Jacques Arnould . Pourtant,  » l’homme a besoin de se coltiner avec ses frontières « . Des hommes exploreront-ils de nouveau l’espace ? L’ un des pères de l’astronautique moderne, le Russe Konstantin Tsiolkovski (1857-1935), a eu cette phrase : «La Terre est le berceau de l’humanité, mais on ne passe pas sa vie entière dans un berceau.  » Le 12 avril 1961 , un homme a quitté ce berceau, suivi par d’autres. Leurs enfants ne semblent pas prêts à emprunter la même voie.

VINCENT DEFAIT

Patrick Baudry : France Soir (16 Nov 2011)

posted by on juillet 07th, 2020

Patrick Baudry : « La Station spatiale internationale est pathétique »

Trois cosmonautes doivent rejoindre mercredi la Station spatiale internationele -ISS), cible de nombreuses critiques. A quoi sert encore la présence humaine dans l’espace ? Le spationaute français Patrick Baudry dénonce la gabegie.

Station spatiale internationale MaxPPP
Affaibli par une série de revers, le secteur spatial russe s’apprête à pousser un soupir de soulagement. La fusée Soyouz transportant trois cosmonautes a été lancée avec succès lundi du cosmodrome russe de Baïkonour, au milieu de la steppe de l’ex-république soviétique du Kazakhstan. Elle devait s’arrimer à la Station spatiale internationale (ISS) mercredi matin à 6 h 30 (heure de Paris), après deux jours de vol. A son bord, les Russes Anton Chklaperov et Anatoli lvanichine, ainsi que l’Américain Dan Burbank. Les trois hommes, qui passeront environ cinq mois dans l’espace, rejoindront l’Américain Mike Fossum, le Japonais Satoshi Furukawa et le Russe Sergueï Volkov à bord de la station. Ces derniers doivent revenir sur Terre le 22 novembre, avant d’être remplacés fin décembre par trois nouveaux spationautes. Avec deux mois de retard sur le calendrier initial, I’ISS sera dotée d’un équipage complet. « Après ça, la station fonctionnera normalement », s’est félicité le chef de l’agence spatiale russe Roskosmos, Vladimir Popovkine.

Un lancement retardé
Imaginée en 1983 par le président américain Ronald Reagan, la station spatiale a commencé à être assemblée en orbite à 400 kilomètres de la Terre en 1998, sous l’impulsion de la Nasa et des agences spatiales russe, européenne, japonaise et canadienne. Cette plate-forme d’observation de la taille d’un terrain de football est occupée en permanence par un équipage internationale qui étudie les effets de l’apesanteur sur le développement et la croissance des plantes, des animaux et du corps humain. Le dernier décollage de cosmonautes pour I’ISS s’est déroulé en juin, pendant que la Russie célébrait en grande pompe les 50 ans du vol du Soviétique louri Gagarine, premier homme à s’être aventuré dans l’espace, en 1961. Mais la fête a tourné court en août, après le crash d’un vaisseau-cargo destiné à approvisionner l’équipage de la station. L’engin, qui transportait plusieurs
tonnes de matériel et de nourriture, s’est écrasé en Sibérie peu après son envol, à la suite d’une défaillance de moteur de son lanceur Soyouz. Ce revers historique du secteur spatial russe a entaché la réputation de fiabilité
légendaire de la fusée, forte de 1.800 vols réussis. Le fiasco a également empêché la communauté internationale d’accéder à I’ISS pendant deux mois. « Soyouz est désormais Je seul lanceur capable d’acheminer des humains dans l’espace depuis la mise en retraite de la dernière navette spatiale américaine il y a six mois, explique un expert du secteur. Les Etats-Unis ne pouvaient plus se permettre de dépenser une centaine de millions de dollars à chaque lancement. »

« L’argent coule à flots sans aucune utilité »
Les orientations du programme spatial américain prévoient pourtant que I’ISS soit exploitée au moins jusqu’en 2020. Le coût total de cette mission ruineuse avoisinerait déjà 100 milliards de dollars. Contraint de faire des choix budgétaires, le président Barack Obama a dû renoncer au programme qui devait permettre à l’homme de revenir sur la Lune. Une décision dénoncée par de nombreux spécialistes, qui rappellent l’importance de poursuivre l’exploration du système solaire. « La Station spatiale internationale est pathétique », s’enflamme l’astronaute français Patrick Baudry. « Cela fait vingt ans qu’on cannait parfaitement les réactions de l’homme dans l’espace et qu’on sait combattre les effets de l’apesanteur, poursuit-il. Cela me désole qu’on dépense autant d’énergie pour aller si près de la Terre. L’argent coule à flot sans aucune utilité. Avec Je même budget, on aurait pu établir une station permanente sur la Lune ou explorer Mars depuis une quinzaine d’années. J’espère que les Etats-Unis vont enfin se montrer plus ambitieux. Mais rien n’est plus difficile à combattre que la bureaucratie. » Les frais d’exploitation exorbitants de I’ISS plombent également l’agence spatiale russe Roskosmos, qui y consacre la moitié de son budget. Un effort pesant dans un contexte marqué par une succession de déboires. Il y a un an, trois satellites russes censés concurrencer le GPS américain et le Galileo européen sont ainsi tombés dans l’océan Pacifique, après leur lancement avorté par une fusée Proton. En février, Roskosmos avait déjà perdu le contact avec un satellite militaire. Sans parler du dernier incident en date, survenu la semaine dernière : Phobos-Grunt, première sonde interplanétaire lancée par la Russie depuis quinze ans, est restée en orbite autour de la Terre au lieu de prendre la route de Mars. L’appareil pourrait pénétrer l’atmosphère terrestre en janvier, avant de se désintégrer. « C’est une déconvenue pour l’astrophysique russe », a reconnu Vladimir Popovkine. Fragilisé financièrement par ces échecs successifs, Moscou refuse toujours de remettre en question son soutien sans faille à I’ISS. Mais sa position pourrait changer en cas de nouvelle série noire. De quoi s’interroger sur l’avenir de ce grand laboratoire en orbite, de plus en plus considéré comme un fardeau. « Tout le monde se demande qui va continuer à subventionner la station », résume une source proche du dossier. En attendant, les autres programmes phares d’exploration spatiale restent au point mort.

Par Marie-Laure Hardy

Patrick Baudry à Saint-Tropez 2011

posted by on juillet 07th, 2020

Avant le meeting, les aviateurs les pieds dans le rond !Patrick Baudry et son épouse sont là ;

La pétanque est à l’honneur, Place des Lices à Saint –Tropez. , elle ouvre la voie aux traditionnelles vendanges humanitaires de Berthaud-Bélieu, qui verse comme c’est la coutume , la totalité des bénéfices de la vente des bouteilles produites à partir de la récolte du dernier W E d’Août à « Tidène, les puits du désert » du Niger ;Patrick baudry est là tous les ans…

Les Héros de l’Espace, 50 ans après Gagarine, ils ont conquis l’orbite Terrestre  et la Lune.

Patrick Baudry est de ceux-la : Mission   STS 51 G Discovery, « Il n’y a qu’en prenant des risques que l’on fait des conquêtes ! »dit-il, «  l’objectif aujourd’hui ? la conquête de Mars avec de réels progrès scientifiques et  techniques ,et,surtout du rêve… »

Patrick Baudry et Speakers Academy-n°1 2010

posted by on juillet 06th, 2020

Speakers Academy est la première agence européenne d’orateurs et de conférencier, Patrick Baudry est l’un d’eux.Pour une transmission de la connaissance au sens le plus large du terme

Comment se décantent ces rencontres chez les élèves du collège Jacques Monod à Beaumont-sur-Oise, où l’astronomie s’invite en OBJET D’ART ?

Où les questions fusent pour quitter la petite planète du quotidien et partager un moment, un face à face, avec un cosmonaute en chair et en os, Patrick Baudry, qui offre aussi ses souvenirs d’hier parmi les  airs irrespirables d’un ciel enchanteur du cosmos

Aujourd’hui Patrick Baudry nous propose de visiter une maison de ventes aux enchères :

Si le temps nous était conté »(de la création du monde à la conquête de l’espace.

Suivez Patrick Baudry, il vous parlera des ventes qui retracent l’Histoire  du monde et de l’Homme et de cette exposition qui propose, de pouvoir acquérir des objets fabuleux.

Visitez :

PATRICK BAUDRY REPART DANS L’ESPACE !

posted by on juillet 06th, 2020

PATRICK BAUDRY REPART DANS L’ESPACE !
Rendez-vous pour UNE NUIT DANS L’ESPACE le 27 mars 2012 sur FRANCE 2, en compagnie des 8 autres astronautes français, de beaucoup d’amis et de Michel DRUCKER !

A l’occasion des 50 ans du premier homme dans l’espace, Youri Gagarine le 12 avril 1961, France 2 et Michel Drucker vont célébrer la conquête spatiale française et européenne. Ce programme exceptionnel, intitulé « Une nuit dans l’espace » s’inscrit dans la collection des émissions thématiques : « Une nuit sur le Charles-de-Gaulle, Une nuit sous les mers, Au cœur de la gendarmerie… »

Programmation le mardi 27 mars à 20h35.

Michel Drucker sera entouré pour la première fois des 9 astronautes français qui sont allés dans l’espace : Jean-Loup Chrétien, Patrick Baudry, Jean-Pierre Haigneré, Claudie Haigneré, Michel Tognini, Léopold Eyharts, Philippe Perrin, Jean-Jacques Favier, et Jean-François Clervoy. Et, en exclusivité, Michel Drucker, entrera en contact et dialoguera avec les astronautes européens qui se trouvent à bord de la Station Spatiale Internationale, en orbite à 400 km au-dessus de la Terre.

Lors de ce grand show enregistré à l’Astrium, site de fabrication des étages de la fusée Ariane, de nombreuses personnalités vous feront découvrir les hommes et les femmes qui œuvrent au service du spatial à la française.

Des reportages : Mireille Darc nous emmènera en Allemagne à la découverte de Thomas Pesquet, le prochain Français dans l’espace, la chanteuse Shy’m testera et nous expliquera les secrets de l’apesanteur, Christophe Willem nous fera visiter le vaisseau Soyouz et la station MIR, Nathalie Simon décollera en mirage 2000 pour nous expliquer l’importance de l’espace au sein des Armées françaises et, Michel Drucker nous fera vivre les coulisses d’un lancement d’Ariane 5 en Guyane.

Invités : Christophe Willem, Nolwenn Leroy, Shy’m, Didier Marouani, Mathieu Kassovitz, Julie Andrieu, Hubert Reeves, Gilbert Montagné, Nathalie Simon.

Ceci se passe lors de l’exposition : « de l’Orient à l’Occident » du 16 mai au 30 juin 2009 domaines Henri Martin, Châteaux Saint Pierre et Gloria.

Patrick Baudry s’enthousiasme pour l’Art, et nous fait partager ses coups de cœur et ses rencontres.

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